Clairement un mix des deux, et je dirais même que l'art prend de plus en plus d'importance. Avec l'IA qui automatise pas mal de tâches répétitives et analytiques, la valeur ajoutée se trouve de plus en plus dans la capacité à créer des contenus originaux, à raconter des histoires qui touchent les gens, à imaginer des campagnes qui sortent du lot. Les données, c'est la boussole, mais la créativité, c'est le carburant. Sans ça, tu tournes en rond.
La Comtesse Cousteau a tout dit. C'est le royaume du "on sait qui tu es et d'où tu viens".🤔 Faut jouer le jeu des apparences, même si on n'est pas fan. 💡
Je rejoins CavalierSongeur sur l'importance du choix des influenceurs. Pour avoir bossé sur des campagnes, je peux vous dire que c'est là que ça se joue souvent. On a vu des campagnes avec des micro-influenceurs (genre 5-10k abonnés) cartonner plus que des trucs avec des "stars" à 100k. Pourquoi ? Parce que l'audience est plus engagée et fait plus confiance. Donc, ciblez bien et ne vous laissez pas aveugler par le nombre d'abonnés.
La Comtesse Cousteau a raison, faut pas négliger l'aspect "accompagnement". Moi, j'ai failli me planter en beauté en voulant faire cavalier seul. J'ai fini par prendre un coach en investissement immo, et franchement, ça a tout changé. Il m'a aidée à structurer mon projet, à négocier avec la banque... et surtout, à pas paniquer quand les taux ont commencé à remonter ! Alors oui, ça représente un budget, mais c'est un investissement sur le long terme.